Sébastien Huyghe

 

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Question au Gouvernement sur la fermeture de la douane de Lesquin


Sébastien Huyghe interroge le Gouvernement sur... par SebHuygheDepute

24 mai 2016 | Lien permanent | Commentaires (0)

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Question à la Ministre du Travail sur la politique du Gouvernement en matière d'apprentissage


Sébastien Huyghe interroge Myriam El Khomri sur... par SebHuygheDepute

27 avril 2016 | Lien permanent | Commentaires (0)

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Une semaine au cœur de l’apprentissage

13064572_1086701128035131_8631813260982393289_oLa semaine dernière, j’ai eu le plaisir en tant que Vice-Président en charge de l’apprentissage dans notre nouvelle région des Hauts-de-France, de me rendre dans un grand nombre de Centre de Formation d’Apprentis (CFA). Lieux par excellence de la formation par apprentissage de la jeunesse, les CFA sont, par leur rayonnement et leurs liens avec les partenaires institutionnels et économiques, des acteurs essentiels de notre région. C’est pourquoi j’attache une grande importance au dialogue avec les responsables de ces établissements. La  formation par l’apprentissage, financée en grande partie par le Conseil régional des Hauts-de-France, permet aux apprentis d’acquérir des connaissances théoriques en école et des compétences de terrain.

13012698_1085464784825432_225883393606580288_nCes rencontres avec les directeurs d’établissements et les apprentis ont été une occasion pour moi de constater sur le terrain à quel point l’apprentissage constitue une chance et un levier pour la formation et l’emploi de nos jeunes. A l’instar du CFA de Savy-Berlette dans le Pas-de-Calais, j’ai pu voir la qualité de la formation aux métiers agricoles, qui constitue une filière d’avenir avec près d’un emploi sur deux non pourvu. Dans ma circonscription au lycée professionnel Boilly de la Bassée, l’apprentissage est également présent avec le Certificat d’Aptitude Professionnel en Coiffure et le Baccalauréat professionnel Gestion des administrations.

Du CFA de Genech à celui de Beauvais en passant par ceux de Calais, Compiègne et nombre d’autres, avec les conseillers régionaux du territoire nous avons pu voir la richesse des formations par l’apprentissage du territoire. Vitrine du savoir-faire régional en matière culinaire, les métiers de bouche étaient aussi au rendez-vous avec une dégustation succulente de mets cuisinés par les apprentis. Issus d’un savoir-faire traditionnel, les métiers du Bâtiment accessibles par l’apprentissage, permettent d’allier dextérité manuelle et innovation avec par exemple l’installation de panneaux solaires, l’utilisation de nouveaux matériaux, etc.

13015117_1087875134584397_3796227835616268720_nDe surcroît, l’apprentissage permet de répondre aux défis de demain, puisque j’ai pu visiter des écoles d’ingénieurs diplômant leurs étudiants par la voie de l’apprentissage dans l’agro-alimentaire et les technologies numériques.

Au terme de cette semaine riche de belles rencontres, j’ai la conviction renforcée que l’apprentissage est une réelle filière d’excellence.

26 avril 2016 | Lien permanent | Commentaires (0)

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François Hollande sur France 2: Un Président à la dérive

Pour l'émission spéciale "Dialogues Citoyens" de François Hollande sur France 2, on nous avait dit qu'on allait voir ce qu'on allait voir, que François Hollande après avoir touché le fond allait remonter à vitesse grand V, que l'opération grande explication allait tout changer... Que le format de dialogue avec des citoyens était celui où François Hollande excellait...
Et rien n'avait été négligé pour l'occasion: réglages dans les moindres détails par les communicants de l’Élysée, "intervenants citoyens" validés ou récusés par l’Élysée, conducteur transmis en amont de l'émission.
Et on a vu ce que l'on a vu...
Alors que tout était cadré pour que l'on assiste plus à une pièce de théâtre bien huilée plutôt qu'à un vrai débat spontané, on a vu un Président de la République déphasé, en décalage permanent par rapport à ses interlocuteurs. Un Président de la République satisfait de lui-même alors que la France est dans le peloton de queue de tous les classements européens. Un Président de la République qui a complètement perdu le contact et la perception de ce qu'est la vie réelle vécue par ses interlocuteurs et plus largement par les Français. A un an de la fin de son quinquennat, François Hollande en est encore à promettre que c'est pendant cette dernière année que les Français vont voir leur vie transformée par l'action qu'il aurait menée pendant les quatre années qui viennent de s'écouler.
Las! Les Français ont bien compris qu'il n'y avait plus rien à attendre de ce Président à la dérive, si ce n'est la fin de son mandat pour retrouver un peu d'espoir dans l'avenir par l'alternance indispensable pour notre pays.

15 avril 2016 | Lien permanent | Commentaires (0)

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Cérémonie de voeux à Provin

2Près de 600 personnes étaient présentes jeudi soir à Provin à l'occasion de mes voeux de député. Je remercie de son accueil Joffrey Zbierski, le maire de la commune, ainsi que la philharmonie républicaine d'Annoeullin et Asso'passions Bauvin-Provin, qui ont introduits la soirée. A l'occasion de mon discours, j'ai dressé le bilan d'une année 2015 difficile pour les Français, et évoqué l'importance de l'engagement des citoyens dans le débat public pour faire vivre notre démocratie. Un grand merci à toutes les personnes présentes!1

 

29 janvier 2016 | Lien permanent | Commentaires (0)

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Questions au gouvernement : les raisins de la colère

L'Assemblée Nationale n'a pas donné une bonne image d'elle même mardi dernier à l'occasion des questions au gouvernement, alors que les trois journées de deuil national n'étaient pas terminées.
 
La responsabilité de cette image déplorable est largement partagée sur tous les bancs de l'Assemblée Nationale ; à la fois par le Parti Socialiste qui n'a pas hésité à jouer la provocation par la voix de Jean Glavany, par le gouvernement avec la posture de donneur de leçon de Manuel Valls, et par l'opposition qui a été incapable de résister à ces provocations malgré les circonstances et le moment.

Mais comment ne pas comprendre l'exaspération de nos collègues en pensant aux 129 victimes décédées (aujourd'hui 130) sous les balles des terroristes, en pensant aux 129 (désormais 130) familles qui pleurent un ou plusieurs proches, en pensant aux 352 blessés dont certains sont encore entre la vie et la mort.

Comment ne pas avoir la rage en entendant le 1er ministre entonner une nouvelle fois le refrain de l'unité nationale pour mieux museler l'opposition et lui interdire ainsi la possibilité de poser certaines questions qui fâchent. Manuel Valls nous avait déjà fait le coup après les attentats de janvier dernier, usant et abusant de "l'esprit du 11 janvier" et de "l'unité nationale". Nous avions à l'époque décidé de jouer le jeu et avions fait au gouvernement une série de propositions, toutes demeurées lettre morte. François Hollande et Manuel Valls avaient ainsi démontré à cette occasion que les concepts d'"union nationale" et d'"esprit du 11 janvier" n'étaient pour eux que des arguties politiciennes.

Comment ne pas avoir envie de hurler en ayant entendu la veille à Versailles un Président de la République qui n'a su se comporter qu'en tacticien politique pour s'exonérer de ses responsabilités : en détournant l'attention des Français par l'annonce surprise d'une réforme constitutionnelle que rien dans les propositions retenues ne justifie ; en tentant de reporter la faute sur son prédécesseur ; ou en annonçant, pour éviter la critique de l'inaction, la mise en œuvre des propositions de l'opposition datant de janvier et qu'il avait fustigées pendant 10 mois. Que de temps perdu ! 

Comment ne pas vouloir dénoncer un François Hollande qui a pris la lourde responsabilité d'intervenir en Syrie sans en tirer aucune conséquence du point de vue de la sécurité intérieure de notre pays.
 
Comment ne pas s'interroger sur une certaine inertie du pouvoir en apprenant que les services turcs et irakiens avaient prévenu la France de la préparation d'une opération de grande ampleur, et que l'état d'urgence aurait pu être mise en œuvre bien avant les attentats afin d'aller chercher les armes dont tous savaient qu'elles circulent dans un certain nombre de nos banlieues, armes de poing, Kalachnikov, jusqu'à un lance-roquette !

Comment ne pas vouloir s'insurger de voir une Ministre de la santé en difficultés vis-à-vis des professionnels de santé et voulant profiter de l'interdiction de manifester issue de l'état d'urgence ainsi que de l'émotion populaire, pour faire passer en catimini sa réforme contestée. Celle-là même qui préférait jouer sur la corde sensible de la compassion avec les victimes des attentats, et de l'hommage aux personnels de santé, plutôt que de répondre à l'opposition sur sa légitime demande de report du texte.

Le comportement de certains parlementaires ce mardi n'était-il pas finalement la traduction par leurs représentants de la colère sourde de nos concitoyens face à un pouvoir impuissant à assurer leur sécurité, et n'assumant aucune de ses responsabilités ?

Sébastien Huyghe
Porte-parole des Républicains
Député du Nord

23 novembre 2015 | Lien permanent

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Messe à la mémoire du général de Gaulle à Houplin-Ancoisne

12219601_994474013924510_3636696878239941121_nMardi 17 novembre, comme chaque année, nous avons célébré une messe à la mémoire du Général de Gaulle, Chef de la France libre et premier président de la Cinquième République. Quelques jours après la tragédie de Paris, cette célébration a bien entendu pris une dimension particulière. Plus d'une centaine de personnes étaient présentes et c'est ensemble que nous avons évoqué la mémoire de toutes les victimes frappées vendredi 13 novembre.

Voici les mots que j'ai prononcé à cette occasion:

Madame, Monsieur,

Comme chaque année, nous nous retrouvons pour célébrer la mémoire du Général Charles de Gaulle, chef de la France libre et premier président de la Cinquième République. Un grand homme de l’histoire de notre pays, qui nous a quittés le 9 novembre 1970, il y a 45 ans.

Cette célébration est, je crois, un moment important pour nous tous.

Il marque tout d’abord notre attachement à une mémoire commune : la résistance à l’oppression nazie, le refus du défaitisme, la foi en la France et en son destin. Quand tout concourt à la capitulation ; quand tout autour de vous règne le dépit et l’abandon ; quand la facilité a pris le pas sur le courage et que le refus des souffrances justifie dans les discours le renoncement à toutes ses valeurs, il s’est trouvé un homme pour se lever et affirmer qu’il se battrait jusqu’au bout pour que l’emportent la justice et avec elle la France.

Cette célébration constitue  également une occasion de nous réunir autour de valeurs communes. La République, car c’est elle qui justifie nos sacrifices. Mais qu’est-ce que la République, dont on nous répète sans cesse qu’elle est en danger, sans en rappeler les contours ?

La République, c’est d’abord un vouloir vivre ensemble, par-delà nos différences et nos divergences. C’est une chance donnée pour chacun, sans distinctions. C’est la liberté dans la tolérance.

La République, c’est la démocratie, quand les opinions sont libres et que tout individu est libre de s’engager dans la défense de ses convictions.

La République, c’est aussi la Concorde. A Paris, au bas des Champs-Elysées, à l’opposé de la place Charles-de-Gaulle, une place porte son nom et la célèbre. Ses statues, qui figurent les grandes villes de notre pays, dont Lille, rappellent à chaque citoyen qui l’arpente que, quelle que soit notre origine, nous savons nous retrouver pour faire vivre notre Nation et la protéger si nécessaire.

La République, c’est aussi une date, le 14 Juillet qui célèbre avant tout la fête de la Fédération en 1790, quand les Français dans leur entièreté surent faire abstraction de leurs désaccords pour prêter serment à la Nation et à la loi. Car si nous pouvons nous écharper sur bien des sujets, nous avons toujours su nous retrouver dans les moments importants.

La République, c’est cela et bien d’autres choses encore, pour lesquels tant de Français et parfois d’étrangers acceptèrent de se battre et de mourir. Car c’est un idéal, un projet de société et qu’il a toujours généré des ennemis lui préférant la barbarie et l’obscurantisme.

Dès 1944, le Général de Gaulle, avec les Français libre et le concours de nos alliés, a su rendre à la France cette République bafouée durant plus de quatre ans. Car cette France, cette République, si elles avaient déserté le territoire de notre métropole, étaient restées vives dans le cœur de ces Français de Londres qui, avec le Général, refusaient l’idée de la défaite.

Il n’est donc pas question, aujourd’hui, d’abandonner notre République à la peur et au doute. Il n’est pas question de céder à la facilité du repli et du silence. Nos valeurs, solidement ancrées à notre sol, au fronton de nos édifices publics et dans les convictions de nos compatriotes, doivent vivre et triompher de la barbarie.

Le 18 juin 1940, le Général de Gaulle avait pris la mesure de l’enjeu pour notre pays du désastre qui venait de se produire. A la barbarie, à l’obscurantisme, à la cruauté, il opposa une foi intangible en nos valeurs. Ce devoir de mémoire que nous entretenons ce soir est autant un hommage qu’une leçon.

Au cours de cette célébration, nous aurons une pensée toute particulière pour nos 129 morts, victimes des ennemis de notre République, pour leurs familles, ainsi que pour nos trop nombreux blessés, dont certains se battent toujours pour la vie.

Comme le Général hier, il est temps de dire non.

19 novembre 2015 | Lien permanent | Commentaires (0)

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Grand repas campagnard annuel des Amis de Sébastien HUYGHE le 5 juillet à Santes

6a00d8341c781853ef019103cf9799970cC’est avec un très grand plaisir que je vous propose de nous retrouver, comme chaque année, à l’occasion du grand barbecue annuel de l’association des Amis de Sébastien HUYGHE le dimanche 5 juillet prochain.

Ce repas est l’occasion de tous nous rassembler dans la bonne humeur et de partager un moment de détente. C’est également l’occasion d’évoquer l’actualité politique, particulièrement riche en 2015.

Cette année, nous aurons la joie d’accueillir Xavier BERTRAND, ancien Ministre, député-maire de SAINT-QUENTIN, avec qui nous pourrons discuter de l’avenir de notre pays.

Je vous invite donc à vous joindre à nous pour cette journée le :

Dimanche 5 Juillet 2015

Terrain de football de la SALLE MUNICIPALE DE SANTES

Rue Niedernberg (passer le long de la voie de chemin de fer)

à partir de 12h30

N’hésitez pas à convier l’ensemble de vos proches et amis ! Une participation de 18 euros est demandée à chaque participant (10 euros pour les enfants de moins de 16 ans). Votre parasol sera le bienvenu si le temps est ensoleillé !

Pour des raisons d’organisation, je vous serais reconnaissant de bien vouloir nous informer rapidement de votre présence, ainsi que du nombre de personnes qui vous accompagneront (03.20.60.26.26 ou contact@sebastienhuyghe.com).

A très vite!

15 juin 2015 | Lien permanent | Commentaires (0)

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Débat dans la Voix est libre sur France 3 Nord PdC le 13 juin


La voix est libre

15 juin 2015 | Lien permanent | Commentaires (0)

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Ouverture du congrès des Républicains le 30 mai 2015


Sébastien HUYGHE ouvre le congrès fondateur des... par SebHuygheDepute

03 juin 2015 | Lien permanent | Commentaires (0)

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La 5ème en image


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